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sur >> Opinion <<
Extraits :
Cela peut être une
question de statut, de privilège et de liens sociaux.
Si vous n'êtes pas convaincu, jetez un coup d'œil sur les coupures de presse et, la vidéo
Si vous n'êtes pas convaincu, jetez un coup d'œil sur les coupures de presse et, la vidéo
au sujet d'un
médecin de haut rang qui a écrasé un agent de sécurité sur son
lieu de travail
Des témoins
oculaires ont déclaré à la police
que le docteur semblait être saoul quand il est sorti du véhicule.
que le docteur semblait être saoul quand il est sorti du véhicule.
La vidéo montre
aussi le docteur qui essaie de sortir le garde de sous la voiture
et qui utilise un
téléphone portable pour appeler quelqu'un.
Non, il n'appelait
pas d'ambulance, malgré ce qu'il a dit aux médias.
Et qui ensuite, a
continué sur 20 mètres, traînant le corps du garde avec lui.
La police l'a
inculpé de conduite imprudente, pour refus de test d'alcoolémie, et
tentative de meurtre.
Libéré sous caution le même soir, le laissant libre de rentrer chez lui,
Libéré sous caution le même soir, le laissant libre de rentrer chez lui,
ce qui a attiré la
colère de nombreux observateurs
Pire encore, c'est la réaction immédiate de certains responsables du ministère après l'accident,
Pire encore, c'est la réaction immédiate de certains responsables du ministère après l'accident,
qui a donné
l'impression qu'ils tentaient de protéger leur collègue.
Certains médecins
ont blâmé le mauvais éclairage à la porte d'entrée.
Le public a raison
de se demander si le médecin a tenté son statut privilégié dans
ce cas.
Mais que faire s'il
n'était pas un gros poisson au ministère?
Et s'il manquait de
moyens financiers pour déposer une caution?
L'affaire rappelle
un cas de délit de fuite impliquant un jeune membre
du clan Yoovidhaya,
qui a causé la mort d'un policier.
Le riche gosse,
Vorayuth ou "Boss", est toujours en liberté,
en
train de profiter de son mode de vie de luxe quelque part,
pendant que le
processus d'enquête et de poursuites avance.
…
⇓
En août, le
ministère avait déjà attiré l'attention du public
sur sa réaction
léthargique à une affaire de harcèlement sexuel
impliquant un haut
fonctionnaire.
Malgré des preuves
solides, il a fallu 3 mois pour conclure
que le fonctionnaire a violé
la discipline,
et il refuse
toujours de divulguer son identité.
Le 16 novembre
La Commission de la
fonction publique du ministère de la Santé publique
après que le comité
d'enquête disciplinaire
l'ai reconnu coupable d'abus sexuel sur ses
subordonnées.
voir >> ICI <<