Réalisateur: Sarasawadee Wongsompetch, avec Suchar Manaying,
Supanart Jittaleela, Puttipong Pormsaka Na-Sakonnakorn
Thaïlande, Romance, Comédie, 108 mins, 2012.
Thaïlande, Romance, Comédie, 108 mins, 2012.
Trois ans plus tard, l'histoire d'amour entre Pie et Kim
n'est plus au beau fixe. Pour poursuivre leur études, elles se séparent pendant
quelques mois pour effectuer des stages. Kim part en montagne rejoindre
l'exploitation agricole d'un ami de son père, tandis que Pie part à la mer avec
son ami Puey.
Mais de nouvelles rencontres et surtout deux nouveaux personnages (Jam et Maysa) vont rendre leur relation plus compliquée. Des tensions vont apparaître. Des relations nouvelles vont se créer. Leur amour va-t-il réussir à survivre à toutes ces péripéties ?
Mais de nouvelles rencontres et surtout deux nouveaux personnages (Jam et Maysa) vont rendre leur relation plus compliquée. Des tensions vont apparaître. Des relations nouvelles vont se créer. Leur amour va-t-il réussir à survivre à toutes ces péripéties ?
MON AVIS
Les suites sont toujours un exercice périlleux,Yes or No 1 ( Yaak Rak Gaw Rak
Loey) 2011
avait l’avantage sous des apparences de Drama d’aborder le sujet du lesbianisme en Thaïlande,
Il décrivait habilement les réactions entourage/famille et
Le droit à affirmer une existence sociale
Ici en l’occurrence cette suite est un flop monumental :
Histoire hyper banale, scenario inexistant, sur-joué facon Lakorn,
Tout y est parachuté sans saveur avec des personnages à la limite (dépassée) de la caricature (*)
Même pas à regarder un jour de pluie
avait l’avantage sous des apparences de Drama d’aborder le sujet du lesbianisme en Thaïlande,
Il décrivait habilement les réactions entourage/famille et
Le droit à affirmer une existence sociale
Ici en l’occurrence cette suite est un flop monumental :
Histoire hyper banale, scenario inexistant, sur-joué facon Lakorn,
Tout y est parachuté sans saveur avec des personnages à la limite (dépassée) de la caricature (*)
Même pas à regarder un jour de pluie
Reste malgré tout de beaux paysages notamment de la région de
Nan où la majorité a été tournée
(*) PLUS
La médiocrité du film n’est pas à imputer à Sarasawadee Wongsompetch réalisatrice compétente,Mais plutôt au carcan et au couperet de la censure Thaïlandaise.
GMM Grammy est en train d’en subir l’expérience pour sa série "Hormones" le premier soap opera Thai qui évoque le sexe au lycée.
Neuf épisodes de "hormones" ont été diffusés au cours du mois passé sur la chaîne YouTube de GMM1.
La diffusion a reçue des critiques favorables des médias thaïlandais et obtenu d'excellents commentaires des moins de 30 ans.
Connu pour son réalisme, la popularité de la série provient probablement de la façon dont elle reflète la société thaïlandaise où des actes tabous, sont destinés à être ignoré.
La série traite de la vie des étudiants thaïlandais du secondaire qui ont du mal à vivre une vie normale sans être jugés par leurs pairs et les parents.
Chaque personnage peut vous rappeler un vieil ami ou même vous-même il y a des années.
Le scénario comprend des événements communs majeurs de l'adolescence: premiers baisers, alertes à la grossesse, gay, ex-petits amis.
Malgré cela la série est sur la sellette de la CNTS (l’équivalent de la « gosse autorité audio-visuelle »)
Les épisodes seront examinés par la CNTS le 5 août pour savoir si elle viole le texte de loi 37: l'immoralité.
Si GMM Grammy est reconnu coupable, la peine pourrait aboutir à la réédition du spectacle sous les instructions du CNTS
Si vous voulez juger par vous-même, regardez le premier épisode de « Hormones » ici avec sous-titres anglais
